Monsieur de Moussac, c’est un peu l’origine du projet fou de cette frégate. entre autres. J’avais depuis longtemps l’envie de faire une maquette de navire en bois. Genre un gros galion. Mais c’est (très) cher les modèles que je zieute, et ça prend un temps fou, que je ne consacrerai pas à ma passion de peintre.
Et puis quelqu’un a offert à mon père le Soleil Royal de Heller, dont il rêvait gosse. Passion passée pour lui, j’ai du le motiver et mettre les mains à la pâte pour qu’il finisse, après de longues années à voir le jour, fini, flambant et majestueux. Et le dernier coup de cravache à coïncidé avec la création de M. Moussac, un de mes Lépreux chevalier.
M. Moussac devait être un cul-de-jatte, c’était le plan. J’avais en tête les mutilés romains d’Asterix, avec leur petit chariot à roulette, que je voulais faire pousser et tracter par des nurglings malchanceux. Et puis de fil en aiguille, il s’est retrouvé avec un char à voiles… Et qui dit voile, dit mât, dit cordages, et dit graaaaande surface pour un dessin à main levées. Il ne m’en fallait pas plus, j’ai décidé de faire une frégate, épilogue de la geste pathétique de ces Lépreux-Chevaliers.
Cordages et Bubons 